Type de document : | Ouvrage |
Titre : | Revolutionary nostalgia |
Auteurs : | Marie-Cécile CERVELLON ; Stephen BROWN |
Editeur : | [S.l.] : EMERALD PUBLISHING LIMITED, |
Langues | Anglais |
Format : | 213 pages / 20 cm |
ISBN/ISSN/EAN : | 978-1-78769-346-3 |
Mots-clés : |
Nom Commun COMPORTEMENT ; CONSOMMATEUR ; SOCIOLOGIE ; SOCIOSTYLE |
Résumé : |
Nostalgia, they say, is not what it used to be. Once a witticism, this statement about the past has come to pass. Nostalgia really isn't what it used to be. Less than a generation ago, it was regarded as reactionary, as regressive, as reprehensible. Now, it is considered conducive to health, wealth, and human wellbeing. It is something that helps sell products and move merchandise, an underexploited critical resource with emancipatory potential. Nowhere is this transformation better illustrated than in the neo-burlesque community, whose members not only embrace the art-form's golden age, and happily acquire heritage goods and vintage services, but turn their nostalgic leanings to emancipatory effect. They are retro revolutionaries, feather boa-wearing insurgents who find women's liberation in sequins and stilettos. This book shines a spotlight on weapons-grade nostalgia, indicating how it is integral to insurrections throughout history, be they political, technological, or cultural. It reveals, through a combination of empirical ethnographic research and revolutionary literary criticism, the part nostalgia plays in a subversive consumer collective that uses fans, fishnets, and frivolity to fight for the right to party against patriarchy and find a fourth-wave form of female emancipation that foregoes old-school feminist fault-finding for good old-fashioned fun, fun, fun. (Editor's note)
La nostalgie, disent-ils, n'est plus ce qu'elle était. Autrefois, cette affirmation sur le passé est devenue réalité. La nostalgie n'est plus vraiment ce qu'elle était. Il y a moins d'une génération, elle était considérée comme réactionnaire, comme régressive, comme répréhensible. Aujourd'hui, elle est considérée comme propice à la santé, à la richesse et au bien-être de l'homme. Elle contribue à la vente de produits et à la circulation des marchandises, une ressource critique sous-exploitée au potentiel émancipateur. Cette transformation n'est nulle part mieux illustrée que dans la communauté néo-burlesque, dont les membres non seulement embrassent l'âge d'or des formes d'art et acquièrent avec bonheur des biens patrimoniaux et des services anciens, mais transforment leurs penchants nostalgiques en effet émancipateur. Ce sont des révolutionnaires rétro, des insurgés portant des boa de plumes qui trouvent la libération des femmes dans les paillettes et les talons aiguilles. Ce livre met en lumière la nostalgie, en indiquant comment elle fait partie intégrante des insurrections à travers l'histoire, qu'elles soient politiques, technologiques ou culturelles. Il révèle, grâce à une combinaison de recherche ethnographique empirique et de critique littéraire révolutionnaire, le rôle que joue la nostalgie dans un collectif de consommateurs subversifs qui utilise les éventails, les bas résilles et la frivolité pour lutter pour le droit de faire la fête contre le patriarcat et trouver une forme d'émancipation féminine de la quatrième vague qui renonce à la recherche de fautes féministes à l'ancienne pour s'amuser, s'amuser, s'amuser. (Note de l'éditeur) |
Exemplaires (1)
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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0.4 - 8814 | Ouvrage | Bibliothèque IFM | 0.4 Sciences sociales | Disponible |