Type de document : | Travaux étudiant |
Catégorie : | Mémoire |
Titre : | La mode et le mal. L’usage du vulgaire, du laid et du macabre comme instruments de légitimation du statut créatif des maisons de mode dans le luxe |
Auteurs : | Eléonore ROUSSELOT DE SAINT CERAN, Auteur |
Promotion : | 2021 |
Format : | 57 p. |
Présentation : | 57 p. |
Langues | Français |
Mention : | Très bien |
Mots-clés : |
Nom Commun COULEUR ; LUXE ; SEMIOLOGIENom Propre GUCCI ; GVASALIA DEMNA ; HERMES ; JACQUEMUS SIMON PORTE ; KAWAKUBO REI ; MC QUEEN ALEXANDER ; PRADA ; SERRE MARINE |
Résumé : | Le titre de cette thèse professionnelle reprend celui de l’ouvrage de Georges Bataille, La littérature et le mal. L’auteur y développe différentes analyses d’oeuvres aux univers sombres, d’écrivains modernes comme Baudelaire, à travers lesquelles il décrit l’activité littéraire comme coupable car inutile — ou futile, terme très souvent associé à la mode — donc nécessairement travaillée par le « mal ». Ce mal prendrait forme dans l’exploration de la noirceur de l’esprit humain. Ce travail tente donc, dans une démarche similaire, de rendre compte des raisons de l’omniprésence du noir, du macabre ainsi que d’éléments subversifs dans les images produites par les maisons de mode de luxe et de les envisager comme des moyens de légitimation du statut créatif de ces dernières. Le développement s’appuie sur un corpus d’images publicitaires et d’extraits de défilés ainsi que d’images et de textes produits par des médias les promouvant (journaux et magazines de mode). |